Tout le monde profite des avantages d’habitudes alimentaires et d’un mode de vie sain. Mais pour les personnes handicapées, manger sainement est souvent un peu plus complexe. Il existe différents types de restrictions. Parfois, elles se combinent. Les limitations peuvent être congénitales, survenir pendant la grossesse.
Différents types de restrictions
Les personnes ayant une déficience intellectuelle ont un QI inférieur à 70. Par conséquent, elles peuvent fonctionner moins bien sur le plan conceptuel, social et santé. Par exemple, il leur est difficile d’acquérir de nouvelles compétences, comme le langage, la lecture, l’écriture. L’interaction avec les autres est souvent plus difficile. En effet, les personnes handicapées mentales connaissent moins bien les règles de conduite non écrites. Souvent, ils ne réalisent pas ce que les autres pensent. De plus, la capacité d’apprentissage ne se déroulent généralement pas comme dans le développement normal. Par exemple en ce qui concerne les soins personnels, la gestion de l’argent, les loisirs.
Les personnes handicapées bénéficient d’habitudes une suivie sur la santé alimentaire. Mais il y a des points d’attention supplémentaires, en fonction du problème de la personne. Les besoins nutritionnels peuvent varier considérablement d’un individu à l’autre. Par exemple, en raison d’une consommation d’énergie accrue ou plutôt faible.
Quelle est la meilleure nourriture pour les personnes handicapées ?
Selon le type et la sévérité de l’atteinte, des conseils nutritionnels adaptés sont nécessaires. Habituellement, les personnes en situation de handicap sont accompagnées par leur réseau. Leur régime alimentaire est adapté. Si ce n’est pas le cas, ou s’ils ont besoin d’un encadrement supplémentaire. Par exemple, à travers le sport de haut niveau, ils peuvent faire appel à un professionnel de santé spécialisé.
